[Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives

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 [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives

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MessageSujet: [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives   [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives Clock10Ven 12 Jan - 17:23

Christine Palmer
Christy
Nom complet : Christine Palmer
Surnom(s) : Christy, Doc
Identité : Connue
Age : 38 ans
Lieu de naissance : New York
Date de naissance : 17 novembre 1977
Nationalité : Américaine
Race : Humaine
Taille : 1m63
Poids : 55 kg
Yeux : bleus
Cheveux : bruns
Statut civil : célibataire
Origine du pouvoir : aucun
Type de pouvoir : aucun
Affiliation : aucune
Métier : chirurgien

feat: Rachel McAdams
Biographie

Christine, dépêche-toi, nous allons être en retard !
Je finis mon chapitre et j’arrive !
Du haut de mes dix ans, il n’y a rien de plus important que terminer ce nouveau livre de biologie qui allait me servir pour le lycée. Comme le statut de ma famille est modeste, les affaires pour les enfants sont refilées de famille en famille et je viens tout juste de recevoir les livres de lycée de ma cousine qui vient d’avoir son école. Je n’irai pourtant pas au lycée avant quelques bonnes années, mais je suis la suivante ainée dans la liste.
Les deux autres appels de ma mère pourtant me font abandonner mon chapitre et je la rejoins dans l’entrée, acceptant qu’elle m’enfile mon manteau et mon écharpe comme si j’avais trois ans.
Allez Christine, nous ne devons pas traîner, sinon nous allons arriver en retard à la messe.
Mon père se retient de grogner. Je sais qu’il s’en fiche, qu’il n’y croit pas vraiment. Je suis un peu pareil, sauf que je ne suis pas une éternelle pessimiste quant il s’agit de la vie ce qui est le cas de mon père. Il se plaint de tout, ne trouve goût à rien et se contente de peu. Aucune ambition, que des commentaires négatifs. La seule chose que nous partageons, à part notre sang, c’est notre absence de foi. Ça ne résonne juste pas en moi, je n’arrive pas à croire à ce que croit ma mère. Mais je ne l’ai jamais dit. Elle a déjà assez à faire avec mon père.

×××

C’est durant ma deuxième année de médecine que j’ai la plus grande confrontation de ma vie avec ma mère.
Tu le sais quand même, maman, que je n’ai jamais cru en Dieu ?
Elle me regarde, bouche bée, son thé à mi-chemin entre sa bouche et la table. Mon père, qui jusque-là lisait son journal en paix à l’autre bout du salon son participer à la conversation, lève les yeux et me fixe intensément à travers ses lunettes. Il a très mal vieilli durant les dernières années, son nouveau travail le fatiguant beaucoup plus que le précédent, mais il tient à m’aider à payer mes études comme il le peut, le salaire de ma mère suffisant à peine à les maintenir tous les deux dans un mode de vie décent sans qu’il ne soit vraiment confortable.
Ma mère ne m’adresse pas la parole pendant trois jours, juste le temps de ma présence avant que je ne reparte pour un mois de travail à la fac, plongée dans les livres d’anatomie et les cours spécifiques, les stages pratiques et les gardes à l’hôpital durant les années suivantes. Mais lorsque je reviens la prochaine fois, que je descends prendre un verre d’eau à vingt-deux heures avant de retourner bosser, mon mode de travail et de vie complètement chamboulé depuis longtemps maintenant, je trouve mon père dans la cuisine, un verre de whisky à moitié vide devant lui. Son regard capture le mien dès que j’entre, comme s’il m’attendait. Et pour la première fois de toute ma vie, il me sourit avant de sortir un autre verre et de me demander si je veux un ou deux doigts.

La première fois nous parlons philosophie et la raison de l’existence humaine. La deuxième fois, nous parlons de la toute dernière découverte médicale et les bienfaits que cela pourrait apporter pour certains patients. La troisième fois, nous parlons littérature. Ces discussions sont éparpillées dans le temps, se produisant tous les quelques mois sans que nous ne prévoyons jamais rien et elles continuent ainsi durant le reste de mes études. Jamais nous ne parlons de ma mère ou de mes diverses relations. Jamais nous ne parlons de son travail à lui ou bien de leur mariage qui s’effrite. Mais plus nous passons de soirées ensemble, plus j’apprends de choses sur lui, à quel point il est cultivé, le fait qu’il s’intéresse à tout, même s’il ne dit jamais rien. Il est aussi la personne qui veuille sur moi, qui m’empêche de sombrer dans mes bouquins pour ne plus jamais en ressortir.

×××

Mon père décède quelques mois avant que je ne passe mes concours pour entrer en chirurgie. Stephen est là pour me ramasser à la petite cuillère lorsque je raccroche après que ma mère m’annonce la nouvelle. Cela fait deux ans que nous sommes en couple et nous n’habitons même pas ensemble, mais il reste dans mon appartement durant les deux semaines qui suivent. Me réveillant lorsque je m’endors à mon bureau, m’étant plongée dans mon travail cœur et âme pour oublier cette douleur. J’ai banni toute bouteille de whisky de l’appartement et je décroche au quart de tour quand c’est ma mère qui appelle.
Stephen est celui qui me trouve dans mon appartement alors que je suis sur le point de faire un burnout quelques mois plus tard. C’est la première fois qu’il me crie dessus, lui qui est si calme et posé d’habitude. Il me hurle dessus durant des heures, jusqu’à ce que mes oreilles sonnent. Plus tard dans la soirée je ne me rends pas compte qu’il a glissé un somnifère dans mon verre d’eau et qu’il a mis tous mes livres et toutes mes notes dans mon casier à l’hôpital, casier dont il a changé le code. Je passe donc une semaine au lit à ne rien faire d’autre que regarder des films et des séries, à manger des repas complets que Stephen s’efforce de cuisiner le mieux possible. Il me tient au courant des dernières nouvelles dans le domaine médical néanmoins, mais nos conversations se limitent à cela. Il dort sur le canapé chaque soir et ne me touche plus, pas la moindre caresse ou baiser.
Ce n’est qu’une semaine plus tard, après un rendez-vous médical de contrôle qu’il me rend mes notes et qu’il retourne chez lui. Et lorsqu’il est sur le point de faire un burnout quelques mois plus tard, c’est moi qui le réveille à coup d’insultes et de notes que je cache sous mes sous-vêtements.

Quand nous obtenons tous les deux notre concours, nous décidons d’emménager ensemble.

×××

C’est peut-être dû à ma nature pragmatique, mais je n’ai jamais cru au grand amour. Après tous, les émotions sont dues à des hormones, à des réactions chimiques se produisant dans le cerveau, cela ne vient pas du cœur. C’est peut-être la notion de tout cela qui m’a empêché de croire que deux personnes sont destinées à être ensemble. Et en soit, Stephen et moi avons eu une belle histoire. Mais personne ne change radicalement du jour au lendemain et, si au début, le comportement de Stephen ne me dérangeait pas tant que cela, c’est devenu un problème lorsque je n’ai pas réussi à m’y habituer.

C’est sans doute sa manie de se croire supérieur aux autres et la façon dont il traite certaines personnes qui fut la goutte d’eau faisant déborder le vase. Nous possédons tous les deux de l’ambition, beaucoup d’ambition, mais je ne m’en sers pas pour diminuer les autres ou être hautaine. Malgré notre séparation et toutes les rumeurs crachées sur nos dos au sein de l’hôpital, nous sommes restés collègues, rien de plus.

×××

Vous êtes sûre que vous ne voulez pas que je vous transfère ? Boston, ce n’est pas si loin que ça et vous garderiez votre statut de chirurgien…
Merci, monsieur, mais ça ira. Stephen et moi sommes tous les deux des adultes capables de faire notre travail en laissant notre vie privée de côté.
Très bien. Je vous laisse retourner à vos patients alors.
Après un hochement de tête, je quitte le bureau du chef de service. Ma séparation avec Stephen a fait beaucoup de bruit, même dans un hôpital aussi grand que celui de Central New York. Les rumeurs voyagent vite, mais cela fait déjà un mois que nous n’habitons plus ensemble. D’ailleurs, en passant dans les vestiaires ce soir-là, je croise Stephen qui s’apprête à attaquer une nouvelle opération. Quelque chose de sérieux, sinon il ne serait pas là. Voilà une autre de nos différences : je ne refuse jamais un patient, peu importe la complexité de son cas alors que Stephen ose se permettre de choisir. Mais comme d’habitude, je serre les dents et me dirige vers lui alors qu’il sort les vestiaires masculins.
Je t’apporterai demain le reste de tes affaires, tu avais oublié quelques vêtements.
Il hoche la tête sans rien dire, m’indique l’heure à laquelle il passera demain puisque c’est son jour de repos et disparait en direction des salles d’opération.

×××

Je suis de garde lorsqu’on appelle un médecin chirurgien de toute urgence au deuxième étage. Je ne m’attendais pas à le voir, pas dans cet état, pas aussi brisé physiquement. S’il y a bien une chose que Stephen n’a jamais été c’est brisé. J’en oublie notre petite boutade sur notre technique Palmer-Strange, toutes nos disputes, tous ses défauts qu’il m’arrive encore de détester aujourd’hui encore. Je ne me concentre que sur sa respiration, sur les différents signes de vie et surtout ceux qui indiquent ce qui ne va pas. J’ignore la dernière conversation que nous avons eue quand je lui ai proposé de rejoindre mon bloc, j’ignore toutes les allusions qu’il a faites sur moi et certains de mes collègues, j’ignore tout.
Car actuellement, il n’est qu’un patient comme les autres qu’il est hors de question que je laisse mourir sur ma table.

×××

Les mois suivants sont durs et Stephen est plus exécrable que jamais. J’essaie de l’ignorer et de l’aider là où je le peux. Pour l’instant, il m’autorise à lui raser la barbe, mais je sais que ça le dérange, je le vois dans son regard, je le sens dans son langage corporel. Je suis aussi au courant de toutes les choses qu’il essaie pour retrouver l’usage de ses mains, des soucis qu’il a avec le conseil, de l’immense coup que son égo a prit. Nous ne sommes plus ensemble, mais j’arrive à lire en lui comme dans un livre ouvert, aujourd’hui plus que jamais.

Et quand son égo finit par perdre patience, j’en fais les frais
Il y a des choses qui pourront te redonner envie de vivre Stephen.
Comme quoi, toi peut-être ?

Je secoue la tête alors que je quitte son appartement, le laissant seul dans sa misère. Il a franchit la ligne et je ne me laisserais plus insulter de la sorte. Alors pourquoi, si c’est la bonne chose à faire que de le laisser tranquille, pourquoi cela fait-il si mal ?

×××

Je regarde la bouteille de scotch posée sur la table de ma cuisine alors que je balance mon sac par terre, ne prenant pas la peine de le ranger à sa place, me fichant de tout. Deux verres plus tard, je réalise enfin ce qui s’est passé aujourd’hui. Stephen est revenu, changé, étrange. Nouveau look, nouveau comportement, nouvelle vie. Et j’en suis agréablement surprise, mais encore plus confuse que jamais. Je n’avais jamais vu une telle blessure et je n’avais encore jamais vu l’esprit de quelqu’un apparaître, si c’est bien ça qui s’est passé. À vrai dire, je n’y comprends rien et Stephen n’est pas resté pour me l’expliquer. Il a disparu aussi vite qu’il n’est arrivé.
Et moi je n’y comprends toujours rien.
Personnalité

Aussi étrange que cela puisse paraître, je suis née dans une famille chrétienne. Du côté de ma mère du moins, mon père n’a jamais cru en quoi que ce soit d’après mes souvenirs. Pourtant, malgré la messe le dimanche et tous les rituels allant du baptême à la communion, je n’y ai jamais cru. Je récitais les prières comme ma mère me l’avait appris, mais sans conviction. Et, je l’avoue, au lieu d’aller me confesser, je préférais passer des heures le nez plongé dans mes bouquins d’anatomie. Mais ce n’est vraiment qu’à l’âge de vingt ans que j’ai annoncé à ma mère que j’étais athée. Cette trahison de ma part fut le début de longs débats philosophiques autour d’un verre de whisky avec mon père.

J’ai toujours ressenti une attraction envers la science, dès mon plus jeune âge. Je voulais comprendre comment fonctionne le monde, pourquoi et comment certaines lois physiques régissent nos vies. Avide de connaissances et toujours plus curieuse, je voulais changer le monde. J’essayais d’en apprendre le plus possible sur tout pour faire une différence. Ce n’est pas que je suis asociale, non, j’aime le contact avec les gens, leur parler, les comprendre, les aider, mais étant enfant, je préférais m’enfermer avec mes livres qu’aller jouer dehors avec les autres. J’en ai très vite développé une addiction au travail qui a dangereusement faillit se transformer en burnout quand je faisais mes études de médecine. Je voulais trouver des solutions. Et j’avoue, je ne manquais pas non plus d’ambition, je me voyais déjà trouver le remède au SIDA.

Bien que mon travail ne m’a jamais empêché d’avoir des relations amoureuses normales, depuis ma rupture avec Stephen les choses se sont… calmées on va dire, rien avoir avec mes années de médecine (surtout les soirées…). Et outre quelques rencards par-ci par-là, il n’y a eu aucun homme d’importance dans ma vie depuis Stephen. Indépendante comme je suis, j’apprécie néanmoins mon célibat, là n’est pas le souci.

Et en parlant de Stephen, je pensais sérieusement l’avoir perdu quand il a eu son accident. C’est à ce moment-là que je me suis rendue compte à quel point il compte encore pour moi, malgré notre séparation. J’étais inquiète lorsqu’il a disparut et je lui en voulais qu’il ait tout plaqué comme ça. Même si je ne le lui montrais pas, je lui en voulais de m’avoir ainsi abandonnée et de m’avoir traitée de la sorte après tout ce que nous avons vécu. Ce qui ne m’a pas empêchée d’accourir lorsqu’il a eut besoin de mon aide…

Mais j’ai vraiment eut du mal à croire ce que je voyais, ces… pouvoirs. C’était impossible. Moi qui croyais dur comme fer à la science et que toute chose inexpliquée a une raison scientifique, je n’en croyais pas mes yeux. J’en suis encore confuse et je ne sais pas vraiment quoi penser de toute cette histoire.
Habilités

Étant une simple Humaine, Christine ne possède aucun pouvoir.
Derrière l'écran

Prénom/pseudo : TS
Age : Un peu plus que la dernière fois
Comment avez vous connu le forum ? : À l’origine par les Top-sites
Autres comptes ? : Nat, Gamy et Aleks
Un mot pour la fin ? : Nope.
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Mindy Macready
Mindy Macready
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MessageSujet: Re: [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives   [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives Clock10Ven 12 Jan - 18:02

Rebienvenue [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 1997780601 [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 4166304878 [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 3130367206

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Harry Osborn
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MessageSujet: Re: [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives   [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives Clock10Ven 12 Jan - 21:31

Re bienvenuuuuuuue [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 3130367206 [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 3130367206
Je m'occupe de ta fiche dès que possible [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 1997780601

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La haine est bien souvent la fille d'un amour excessif.
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MessageSujet: Re: [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives   [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives Clock10Ven 12 Jan - 22:47

Rebienvenue ! [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 2193375498
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MessageSujet: Re: [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives   [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives Clock10Ven 12 Jan - 23:15

Ta fiche est évidemment parfaite et donc validée ! [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 3130367206
Amuse toi bien avec ce nouveau personnage !!! [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 1997780601 [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives 1997780601
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MessageSujet: Re: [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives   [Validé] Christine Palmer × There are other ways to save lives Clock10

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