L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade

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 L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade

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MessageSujet: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Sam 19 Jan - 17:32

L'amitié est une question de subjectivité
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Cela faisait déjà un petit moment que je n’avais pas décroché de contrat. Et ça me manquait vraiment de pas poursuivre de vilains pas beaux qui avaient grand besoin d’une correction. C’est vrai quoi, c’était mon boulot après tout ? Et j’ai vraiment le flingue qui me démanche… dans tous les sens du terme vous voyez ? Mais bon ça c’est une autre histoire, et je vais certainement pas la détailler maintenant, étant donné qu’il y a peut-être des gamins qui lisent, sait-on jamais. En tout cas, je m’emmerde sec, et j’aimerai bien trouver quelqu’un à qui régler son compte. Mais c’était pas évident, il y a beaucoup trop de héros concentrés au même endroit. J’en suis pas un, certainement pas, mais du coup, trouver des sales types c’est plus difficile.

Et attendant j’en suis là, assis sur le Brooklyn Bridge, en train d’écouter de la musique et me dandiner. Vous vous demandez probablement comment je suis monté sur ce pont non ? Eh bien… je vais peut-être pas prendre le temps de le dire, parce que bon… mais au final, c’est peut-être pas une mauvaise idée, parce qu’il faut bien arriver au nombre de mots requis. Mais bon, pour faire simple, disons que je suis très agile pour montrer sur les trucs, comme sur les gens, et que du coup, c’est un véritable jeu d’enfant pour moi. Mais j’aimerai tout de même bien trouver un contrat, il faut bien que je gagne du fric. Et si en plus je peux me défouler en butant des gens, je vois pas pourquoi je devrai m’en priver.

Mais on est à Brooklyn ici, vu le nombre de gens qui vivent ici, y’en a bien un qui va se faire emmerder par quelqu’un d’autre… et donc je pourrai m’occuper de ce quelqu’un d’autre. On va pas me faire croire que le crime a baissé, c’est des trucs qui baissent jamais, c’est comme le chômage ou les trucs que la politique veut faire croire, mais je m’intéresse pas du tout à la politique alors je sais pas pourquoi j’en parle. Remarquez, la plupart des trucs que je dis, je sais pas pourquoi je les dis, mais comme je suis complètement cinglé, c’est pas la peine de trop se poser de questions.

Mais attendez, c’est quoi que j’entends là, une sirène de flics ? Mais voilà ! C’est ce qu’il me manquait. Bon… Va falloir descendre de là, je pourrai me laisser tomber, mais j’ai pas le temps de prendre le temps de regénérer, faut que j’aille casser des culs ! Je prends donc un peu plus de temps pour descendre et cours à la poursuite des flics, pour voir ce qu’ils poursuivent déjà. Mais quand j’arrive, ils ont déjà arrêté un mec… depuis quand les flics servent à quelque chose ici ?! Je suis vraiment déçu pour le coup… je vais devoir retourner à mon ennui, ô monde cruel… Je m’apprête à repartir sur mon pont, quand mon regard est attiré par quelque chose. Ou plutôt quelqu’un en fait… Un sourire s’étire sous mon masque.

« Hey petite araignée, je croyais la fête terminée, mais puisque tu es là, c’est p’t’être pas le cas. T’en dis quoi ? »

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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Jeu 28 Mar - 11:14

L'amitié est une question de subjectivité.
Ce n’était pas parce que Spider-Man était un Avenger maintenant qu’il avait l’intention d’arrêter ses patrouilles. Il faisait équipe avec certaine personne, mais ça ne voulait pas dire qu’il ne pouvait pas bosser quand même de son côté un peu tout seul. Alors c’était ce qu’il faisait, il prenait le temps de patrouiller. Surtout que c’était les vacances, donc il avait un peu plus de temps pour lui. Du moins, il n’avait pas à se préoccuper des cours. Pour le moment, parce que les cours de la fac ça allait être une autre paire de manche bien évidemment, mais il n’avait pas encore besoin de se préoccuper de ça pour l’heure. Alors, puisqu’il n’avait pas besoin d’aller en cours, qu’il n’avait pas besoin d’être constamment avec les autres Avengers, que Gwen travaillait déjà avec le SHIELD et que Tante May continuait de travailler tout court… bah il prenait la peine de patrouiller et mine de rien, le jeune homme adorait ça. Il aimait beaucoup le fait de travailler en équipe, mais en même temps il appréciait aussi de pouvoir patrouiller seul.

Et généralement, quand il patrouillait, il finissait souvent par trouver ce qu’il cherchait. Et ce qu’il cherchait, c’était des criminelles à arrêter. Il entendit les sirènes d’une banque, avant de voir les voleurs s’enfuir dans leur voiture. Ni une, ni deux, il ne tarda pas à se lancer à la poursuite de cette voiture. Dans le but de pouvoir rattraper les voleurs, alors que les voitures de police se mettaient en chasse également. Cela ne demanda pas beaucoup d’effort à Spider-Man pour arriver au niveau de la voiture des voleurs, pour sauter sur le toit, faire en sorte d’arrêter ce beau petit monde et de les rendre à la police. Ses relations avec les forces de l’ordre étaient un peu plus agréables à présent, disons qu’ils cherchaient moins à l’arrêter. Bon, en un sens, le jeune homme savait bien que tous les policiers n’appréciaient pas forcément sa présence, mais ils faisaient avec de toute façon. Le jeune homme avait donc terminé son acte, sa bonne action de la journée (mais ça ne serait peut-être pas la seule), quand un autre individue arriva sur place.

Deadpool….

Spider-Man ne savait pas exactement quoi penser de cet homme, par moment il arrivait à supporter sa présence, d’autres moments il ne pouvait pas le voir en peinture. Ce qu’il savait, en revanche, c’était qu’il avait tendance à beaucoup trop le coller. Et d’ailleurs, ce dernier ne manqua pas de l’approcher, l’appelant affectueusement « petite araignée » comme il avait l’habitude de faire.

« J’en sais trop rien mon gars ! »
Dit-il en mettant ses mains sur ses hanches. « Comme tu vois, j’ai fait tout le boulot, tu peux rentrer chez toi. » S’il avait un chez lui, mais ça, ça ne regardait pas spécialement Peter. Il n’avait pas spécialement envie de trop s’attarder sur ce sujet dans tous les cas.
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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Mer 24 Avr - 15:45

L'amitié est une question de subjectivité
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Il est vrai que quand c’est moi qui m’occupe des « méchants », ça se remarque à des kilomètres à la ronde. Que voulez-vous, il faut bien que je pense aux spectateurs et que j’assure le show. Je ne fais jamais dans la demi-mesure, sinon je ne serai pas moi, cela me semble d’une logique implacable. Ce qui doit donc vous paraître bien illogique, paraît que j’ai un cerveau compliqué, différent… bref que je suis timbré quoi. Ça me va pour ma part, au moins, ça me rend beaucoup plus intéressant, et j’ai pas besoin de trimballer des cheerleaders derrière moi dans le but d’avoir une team, comme le faisaient les Avengers, les X-mens, et tout un tas d’autres mecs en collants. Et inutile de mettre les X-Force sur le tapis, on n’en parlera pas ici. Quoiqu’il en soit, je sais très bien faire tout seul, je n’ai besoin de l’aide de personne, mais parfois, je ne peux m’empêcher de ressentir comme une pointe de jalousie en les voyant tous s’entraider alors que la plupart du temps, moi ce que je reçois, ce sont des « ferme-là Wade ». Oui, je parle beaucoup, mais il faut bien que je meuble, que je raconte ma vie, sinon, vous n’auriez plus rien à lire.

Quoiqu’il en soit, je suis tout de même un peu déçu que Spidey ait fait tout le boulot tout seul, il aurait pu m’en laisser un peu, le saligaud ! L’esprit de camaraderie ne semble pas beaucoup le toucher, de toute évidence. Oui, nous ne formons pas d’équipe tous les deux, mais c’est bien dommage, nous ferions un si beau tandem ! Il a choisi les Avengers à la place, et je me sens vraiment vexé. J’aime vraiment bien Peter, il est chou ce petit, et je passe toujours un bon moment quand il est dans les parages. Et je sais qu’il m’adore, il est fou de moi. Du moins c’est ce que je m’imagine, c’est toujours mieux d’embellir les choses. Ce n’est pas pour rien si j’aime autant les licornes. Encore une fois, ce que je dis n’a pas vraiment de logique, mais faut vous y faire dans tous les cas.

Quoiqu’il en soit, même si les choses ont l’air d’être terminées pour ces types, je n’ai pas envie d’être venu ici pour rien. Et s’il n’y a que Peter pour jouer, je m’en contenterai. Détendez-vous, je ne compte pas faire des steaks d’araignée, ce qui soit dit en passant était réellement répugnant, mais il y a des tas de façon dont j’aime jouer, et Peter pourrait être un excellent partenaire. Et si vous voyez un caractère sexuel à mes paroles, c’est que vous avez un esprit aussi sain que le mien.

« J’en sais trop rien mon gars ! Comme tu vois, j’ai fait tout le boulot, tu peux rentrer chez toi. »

Il ne me facilite pas la tâche, mais ce n’est pas pour autant que je vais abandonner. Ce serait très mal me connaître de penser cela. Je dissimulais un sourire sous mon masque et m’approcha de lui nonchalant, avant de passer un bras autour de ses épaules.

« Rentrer chez moi ? Pourquoi faire ? Non, je préfère m’amuser avec toi, c’est bien plus sympa. T’aurais pu m’en laisser un peu quand même, c’est pas très généreux de ta part. »

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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Mar 30 Juil - 18:06

L'amitié est une question de subjectivité.
Peter savait parfaitement que ce n’était pas très facile de se débarrasser de Deadpool, qu’il avait tendance à être… un peu trop accroché. Et pas dans le bon sens, il était sérieusement collant. Spider-Man s’y connaissait en truc qui colle (sans mauvais jeu de mot, il ne faudrait pas que Deadpool s’imagine quoi que ce soit), c’était vraiment la croix et la bannière de ne pas avoir le héros – si on pouvait l’appeler héros – sur le dos. Cela dit… Peter devait quand même avouer qu’il n’était pas tout le temps désagréable et que c’était… parfois amusant de passer du temps avec lui. Mais ça ne l’était pas tout le temps, en plus clairement Deadpool n’avait pas du tout des méthodes très pacifique, comme Peter.

Quand le jeune homme lui proposa donc de rentrer chez lui, il savait d’avance qu’il n’allait pas le voir partir pour rentrer chez lui donc. Deadpool lui affirma donc qu’il n’avait pas l’intention de rentrer chez lui, qu’il préférait s’amuser avec lui parce que c’était plus sympa. Eh bien… tu m’en diras tant.

« Hey, t’avais qu’à arriver plus tôt. »
Répliqua-t-il quand son interlocuteur affirma qu’il aurait pu lui en laisser un peu. Peter n’avait pas eu besoin d’aide pour le coup et généralement, quand il n’avait pas besoin d’aide… il ne s’amusait pas à laisser quelques personnes aux potentiels héros capables d’arriver sur le tard. Et au fond, c’était sans doute mieux comme ça, parce que quand on voyait comment Deadpool s’occupait de ses ennemis, ce n’était clairement pas du goût de Peter. « Et si c’est pour tout transformer en bain de sang, je préfère largement m’en occuper moi-même. »

Il affirma ça sur un ton léger, mais il était quand même vraiment sérieux. Peter avait conscience que par moment il se montrait peut-être trop… tendre, mais en même temps il ne voyait pas l’intérêt de prendre des vies inutilement. Il pouvait facilement neutraliser ses ennemis sans avoir besoin de leur ôter la vie, alors c’était ce qu’il faisait. Surtout que toutes les personnes qu’il arrêtait ne méritait pas de sanction trop chères… bon, après il y avait des exceptions bien sûr. Cela dit, même Harry il n’avait pas spécialement envie de le tuer. Il sortait de ses gongs dès qu’il pensait à lui, mais il n’avait pas pour autant envie de le tuer… surtout qu’il se disait qu’il était malade aussi. Enfin, bref, Peter avait un sens de la justice tendre, contrairement à Deadpool qui laissait souvent des cadavres derrière lui. Même si la police n’était pas forcément du côté des héros à longueur de temps, Peter leur faisait suffisamment confiance pour s’occuper des bandits.

« Et je serais toujours plus rapidement que toi. »
S’amusa à affirmer Peter, en croisant les bras, souriant sous son masque, s’amusant un peu de sa réplique. Bon, après tout, il n’y avait aucune raison de se retenir de taquiner Deadpool, ce n’était pas comme si ce dernier se retenait de son côté.
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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Jeu 12 Sep - 16:20

L'amitié est une question de subjectivité
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Emmerder Peter Parker, c’était un peu une seconde nature pour moi. Enfin, dans son sens je l’emmerde, mais dans le mien… je sais qu’on forme un super duo, et que de nouveaux comics devraient être écrits juste sur nous, relatant nos aventures et notre histoire d’amour fusionnelle. Bon ok, je vais un peu loin, mais je sais que tout le monde y a pensé au moins une fois, même vous. Mais ce n’est pas le sujet pour le moment, je la trouve un peu trop grognon ma petite araignée, mais j’ai de quoi la dérider un peu ! Ou alors il allait encore plus se renfrogner, mais ce n’est pas grave. Je suis totalement capable de m’amuser pour deux, et dans tous les cas, j’ai décidé de passer du temps avec lui, donc il n’a pas trop son mot à dire. Je suis le genre de mec tenace vous savez. Vous pouvez bien me découper en morceau, me mettre dans un mixeur, m’enterrer… je reviens toujours ! Mais de mauvaise humeur, parce que vous n’avez pas idée du fric que ça me coûte de tout le temps devoir me faire un nouveau costume !

« Hey, t’avais qu’à arriver plus tôt. Et si c’est pour tout transformer en bain de sang, je préfère largement m’en occuper moi-même. »

Oui bon, mes méthodes sont souvent critiquées. Mais ils sont tous hypocrites, ça sert à quoi d’envoyer des fumiers en prison pour qu’ils recommencent dès leur sortie ? Et puis je suis désolé, mais ce n’est pas un bain de sang, je fais de l’art, c’est toujours très artistique. Ils sont jaloux de mon talent, je le sais bien, il ne peut y avoir qu’un Deadpool, et c’est moi. Les autres sont donc d’éternels frustrés, je les comprends.

Enfin, quoiqu’il en soit, je trouve quand même pas ça sympa qu’il n’ait pas eu l’idée de m’attendre. Franchement, il aurait dû penser à moi, et autant dire que oui, je suis vexé. Bon, si les situations avaient été inversées, est-ce que Deadpool aurait attendu Spider Man ? Non, je ne pense pas. Mais en même temps, quand je suis dans l’action, je suis dans l’action. Oui je sais, mes explications sont très claires, mais vous n’imaginez même pas le bordel qu’est mon esprit. Et tant mieux pour vous je vous assure ! Enfin, dans tous les cas, je compte bien lui montrer que je suis blessé qu’il n’ait même pas daigné penser à moi, et qu’en plus de cela il me critique. J’attends des excuses de sa part, et il a tout intérêt à me les donner, je ne le lâcherai pas dans tous les cas, et il le sait très bien. Il me connaît après tout non ? Du moins, je l’espère vraiment.

« Et je serais toujours plus rapidement que toi. »

Je souris sous mon masque. Il n’est pas conscient que ce n’est pas des choses à me dire, mais en même temps, c’est normal, il est encore jeune et innocent, ce qui n’est pas du tout mon cas, surtout pour la partie innocente. Il n’y a aucun sujet sur lequel on pouvait me qualifier d’innocent, et c’est quelque chose qui ne me déplait pas, j’aime être comme ça.

« Oh voyons Spidey, il n’y a aucune raison de se réjouir d’être un éjaculateur précoce tu sais. »

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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Lun 20 Jan - 15:33

L'amitié est une question de subjectivité.
Peter avait de la répartie. Du moins quand il portait le costume de Spider-Man, le jeune homme parvenait à se lâcher bien plus. Le fait qu’il porte un masque et que son identité soit caché, c’était évident plus facile pour lui de simplement se lâcher et de se montrer plus amusant, d’avoir de quoi répliquer. Et en cet instant précis, le jeune homme devait bien avouer qu’il avait quand même envie de taquiner un peu Deadpool. Sa relation avec l’autre héros – si on pouvait le qualifier de héros, il était quand même un peu particulier pour être un héros, il avait un peu trop tendance à transformer les événements en bain de sang – était quand même un peu bizarre.

Clairement, Deadpool avait le don de lui taper sur le système, il l’agaçait profondément. Mais en même temps, il ne pouvait pas complètement ignorer le fait qu’il était quand même amusant. Et au moins, quand ils parlaient tous les deux, ils n’avaient pas réellement besoin de se prendre au sérieux et c’était quelque chose que Peter appréciait. Mais évidemment, il n’allait pas l’avouer, il ne fallait pas déconner. Ça ferait bien trop plaisir à Deadpool d’apprendre que par moment Peter appréciait sa présence. Sauf quand ce dernier ne manquait pas de retourner sa petite réplique contre lui.

Peter souriait sous son masque, jusqu’à ce que Deadpool reprenne la parole pour lui affirmer qu’il n’y avait aucune raison de se réjouir d’être un éjaculateur précoce. Le jeune homme était clairement heureux d’entendre une chose pareille alors qu’il portait son masque de Spider-Man, comme ça on ne pouvait pas voir ses joues virer au rouge. Non mais sérieusement ? Il lui disait ça comme ça ? Bon, forcément, Peter était quand même sacrément touché par de tels propos. Surtout que bon… non mais il n’était pas forcément complètement à l’aise avec ce genre de sujet.

« Mais ça va bien toi ! T’es un grand malade ! » Bon, en soit, l’homme n’avait pas non plus dit grand-chose non plus. Mais Peter n’était pas du tout à l’aise avec ce genre de discours, ce genre de remarque. Peter ne savait même pas quoi répondre à ce genre de remarque. « T’es un pervers. »

Bon, clairement, Peter avait peut-être justement une réaction de jeune… puceau, mais tant pis. Il devrait sans doute même réagir autrement, ne pas se laisser marcher sur les pieds par le jeune homme sous ses yeux. De se laisser traiter de la manière dont il le traitait. Même si ce n’était rien, évidemment, c’était juste que ça touchait à un sujet quand même sacrément sensible et que Peter n’avait aucune idée de comment gérer ce genre de remarque.

« Faudrait que tu te la fermes des fois ! »
Lança-t-il, avant de décider simplement de lever sa main vers son interlocuteur pour lui lancer des toiles d’araignée directement sur le visage. Bon il portait son masque, autant dire que ça n’allait pas lui faire grand-chose, mais tant pis, c’était juste histoire de.
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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Mar 18 Fév - 15:56

L'amitié est une question de subjectivité
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Quoi ? Vous trouvez que je ramène tout au sexe ? Evidemment ! En même temps, c’est pas ma faute, Peter sait très bien que j’ai l’esprit mal placé (au moins maintenant il le sait) et il me tend des perches de dix kilomètres, ce serait un crime que de ne pas les saisir ! Faut bien le dire, je suis fier de ma connerie, parce que je sais que le gamin en face va s’empourprer et devenir très gêné. Ce qui est très mignon, je dois bien le dire. Il était encore trop inexpérimenté pour apprécier ce genre de blagues. Oui, j’ai un sens de l’humour particulier, et je vous emmerde en plus de ça. Mais il y a bien un jour où il aura le même humour que moi. Ah tiens, c’est que ce serait vachement drôle que je réussisse à le pervertir, je crois qu’une nouvelle mission pour Deadpool vient de tomber !

Oui je parle de moi à la troisième personne maintenant, et alors, j’ai bien le droit d’avoir mon petit moment mégalo non ? Enfin bref, je savoure mon moment avec Peter, et je compte bien faire en sorte qu’il continue le plus possible. J’attends déjà avec impatience ce qu’il va me répondre, mais je me fais pas de films, je sais bien qu’il ne va pas me sortir la réplique qui tue, parce que Peter est encore un novice, et qu’il est très loin de dépasser le maître.

Mais ce n’est pas grave, je vais lui apprendre, au petit. Comme une bonne action, après tout, il faut bien qu’il apprenne non ? Et qui mieux que moi pour ça ? Je vais en faire un mini-moi, et on se baladera ensemble, main dans la main. Je vois déjà le tableau, ça va être absolument magnifique ! Mais avant cela, il faut que je le forme, non parce que ce n’est pas tout mais, on a du pain sur la planche.

« Mais ça va bien toi ! T’es un grand malade ! T’es un pervers. »

Je ne peux pas m’empêcher de ricaner. Je ne m’attendais certes à pas grand-chose, mais je me retrouve quand même un peu déçu. C’est tout ? C’est tout ce qu’il a à me dire ? Le pauvre, je dois l’avoir vraiment gêné. En même temps, je sais déjà que je suis un grand malade, et un pervers, il ne m’apprend rien, mais c’est tout de même gentil à lui de le souligner. Pour moi, ce sont presque des compliments. En tout cas, je note que Peter semble très sensible quand ça porte sous la ceinture, et je ne compte pas l’oublier de sitôt.

« Faudrait que tu te la fermes des fois ! »

Oh alors là, il ne fallait pas trop qu’il y compte. Personne n’arrivait à me faire la fermer. Je parle tout le temps, c’est comme ça. Evidemment, si ma bouche est occupée à autre chose… ça peut le faire. Mais en général, je parle. Même en dormant, je parle. Je ris un peu plus fort quand il me balance des toiles, et je les évite en me baissant, après m’en être pris une ou deux. J’essuie mon masque, et décide de le charrier encore un peu.

« Oh allez quoi, on peut s’en parler entre mecs ! Si tu veux, je peux te donner un bon truc pour pas venir trop vite. Genre quand tu sens que tu vas partir, tu penses à un truc qui te dégoûtes, mais pas trop, parce que sinon c’est la panne ! Eh mais au fait, j’y pense, tu sais que quand tu craches des petites toiles là… ça ressemble un peu à du sperme ? »

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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Mer 24 Juin - 20:09

L'amitié est une question de subjectivité.
Peter avait l’habitude de supporter Deadpool, mais à chaque fois qu’ils se retrouvaient ensemble, ce dernier arrivait quand même à être choqué de ce qu’il lui disait. Le jeune homme avait quand même une habitude à ne pas prendre les choses aux sérieux quand il portait son costume de Spider-Man, mais en même temps il n’était quand même pas au niveau de Deadpool. Cela dit, Peter n’avait aucune idée de comment il était sans son masque, peut-être qu’il ne changeait pas vraiment d’attitude.

En tout cas, sans grande surprise, les paroles de Peter et le fait qu’il lui lança des toiles sur le visage ne changeait pas grand-chose à son comportement et à ce qu’il lui dit ensuite. Il commença à lui donner des conseils sur comment s’en sortir s’il venait trop vite. Non mais sérieusement, le jeune homme n’en revenait pas de ce qu’ils étaient en train de se dire. De ce qu’il était en train d’entendre de la part du « super-héros ». Il lui parla donc du fait qu’il n’avait qu’à penser à quelque chose qui le dégoutait un peu s’il sentait qu’il arrivait trop vite, mais en même temps il ne devait pas le faire trop parce que sinon il allait subir une panne. Sérieusement… il n’en revenait pas d’entendre de telles paroles de la part de son interlocuteur. Bon, en soit, il ne devrait pas non plus être étonné, mais quand même.

« T’as un sérieux problème, t’es au courant ? » Affirma-t-il, quand l’homme sous ses yeux termina en affirmant que ses petites toiles ressemblaient à du sperme. Bon, ce n’était sans doute pas le premier à se faire la réflexion et ça ne sera pas le dernier de toute évidence, mais sérieusement Peter aimerait bien quand même entendre d’autres choses. « Je crois qu’il est vraiment temps que tu te trouves une copine toi. » Dit-il alors, en affichant un sourire amusé même si ce dernier ne se voyait pas sous son masque. Il le disait sur un ton léger, parce qu’en soit il n’avait pas non plus envie de se prendre la tête avec Deadpool, même si clairement le jeune homme ne l’aidait pas à y arriver. Il n’avait aucune idée de la vie de Deadpool, mais s’il pouvait avoir une copine à emmerder plutôt que lui, Peter ne dirait pas non. Même s’il devait quand même avouer que son interlocuteur mettait une certaine ambiance et que par moment, il le faisait pas mal rire. Sauf quand il commençait à lui parler de potentielle panne qu’il pouvait avoir au lit. « Je suis sûr que ça te détendrait d’avoir quelqu’un dans ta vie. »

Il ne disait pas ça juste parce qu’il avait envie d’avoir la paix, il le pensait vraiment.
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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Mer 9 Sep - 23:16

L'amitié est une question de subjectivité
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
D’accord, je reconnais que j’y vais fort avec la petite araignée, mais il faut dire aussi qu’il fonce tellement vite dans le panneau que je peux pas m’en empêcher. Le titiller c’est vraiment trop tentant, et il m’en faut jamais beaucoup pour tout ramener au sexe alors, les choses vont très vites. S’il faisait moins sa mijaurée aussi, j’appuierai moins dessus… ou pas en fait. Avec moi, les pronostics ne tiennent jamais, c’est ce qui me rend si incroyable, je suis totalement imprévisible.

Enfin bref, tout cela pour dire qu’il pourra bien tenter de me museler, ça ne servira à rien. Celui qui me fera me la fermer n’était pas né, je vous le dis. J’adore parler, et encore plus si c’est pour dire des conneries, ça donne toujours un côté moins dramatique aux situations. Parfois un peu de drama c’est cool, mais moi ça finit par m’angoisser de voir des dizaines de mecs chialer comme des fillettes, et dès que je suis mal à l’aise, je parle. Même quand je vais très bien je parle. Je vous l’ai dit, je parle tout le temps, et surtout pour ne rien dire. Mais on peut pas vraiment me le reprocher. Enfin si on peut, mais je m’en fous, je changerai jamais pour faire plaisir à des pecnauds.

« T’as un sérieux problème, t’es au courant ? Je crois qu’il est vraiment temps que tu te trouves une copine toi. »

Je peux pas m’empêcher de sourire sous mon masque en l’entendant dire ça. Peut-être bien qu’il faudrait que je me trouve une copine, mais je parle pas comme ça parce que je suis en manque, mais juste parce que ça m’amuse. Mais c’est peut-être un truc que Spidey ne comprend pas. Je peux pas lui en vouloir, je suis compliqué à suivre, même pour moi. Quoiqu’il en soit, c’est pas demain la veille que je me trouverai quelqu’un. J’ai encore Vanessa dans la peau, et sincèrement, je veux pas retomber amoureux. C’est trop compliqué, ma vie a toujours été un vaste bordel, et en rajouter c’est vraiment pas la peine. Mais bon, inutile de partir en mélo, et j’ai pas envie de raconter ma vie à Peter, je préfère l’emmerder, c’est bien plus drôle.

« Je suis sûr que ça te détendrait d’avoir quelqu’un dans ta vie. »

Quelqu’un dans mon lit, oui je l’avoue. Ou n’importe où ailleurs, j’aime bien l’exotisme dans le sexe, même si je reconnais que depuis que je suis recouvert de cicatrices j’ai radicalement moins de rapports. Mais une fille dans ma vie, non merci. Ou un mec, je suis pas regardant et j’aime les deux. Enfin bref, ce n’est pas trop le sujet. L’important, c’est que ce cher jeune homme n’arrête pas de me tendre des perches, je ne peux pas les refuser, alors il n’aura qu’à s’en prendre qu’à lui-même.

« C’est une proposition ? Je savais que t’étais dingue de moi. Mais t’inquiète pas, t’es pas obligé de te considérer comme une fille Spidey, je vis très bien le fait d’être aussi intéressé par les mecs, tu devrais en faire de même mon gars. »

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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Sam 17 Avr - 11:08

L'amitié est une question de subjectivité.
Peter était du genre à appréciait quand même beaucoup de monde et en soit, il n’avait rien contre Deadpool – sauf sa tendance à être un peu trop dans l’extrême et à… tuer les gens froidement et d’une manière sanglante –, mais c’était dingue comme ce dernier savait le mettre mal à l’aise à de très nombreux moments. Il ne fallait pas grand-chose en même temps pour le mettre à l’aise et Deadpool savait parfaitement appuyer où ça le mettait le plus mal à l’aise possible. Peter appréciait grandement d’avoir son masque sur le visage au vu de la conversation qu’ils avaient tous les deux, parce qu’il devait être rouge écarlate. Il n’était pas complètement prude non plus mais… bref, ça le mettait mal à l’aise. En plus il ne savait pas quel âge avait son camarade, mais c’en était glauque.

Forcément, Deadpool entra dans la brèche de ses propos en lui demandant si c’était une proposition et qu’il n’était pas obligé de se considérer comme une fille. Et il ajouta que ça lui allait très bien de son côté d’accepter le fait qu’il était aussi intéressé par les mecs, qu’il devrait en faire de même. Oui sauf… que non, Peter n’était en aucun cas intéressé par les mecs.

« Non mais t’es pas croyable toi ! » Répliqua-t-il parce qu’il n’avait tout simplement rien de mieux à dire. Quoi qu’il dise de toute façon, Pool allait prendre un malin plaisir à dériver ses paroles pour les arranger à sa sauce (sans mauvais jeu de mot à la Deadpool d’ailleurs). Alors autant qu’il arrête de dire quoi que ce soit. En fait, il devrait même s’en aller d’ici que de supporter la présence trop… collante de son camarade. « T’es insupportable mec, c’est tout ce qu’il y a à savoir ! » Ajouta-t-il avant de s’approcher du justicier dans le but de lui donner un coup de poing dans le visage.

D’accord, ce n’était pas forcément la meilleure attitude à avoir parce que… eh bien, ça ne servirait à rien, mais Peter n’avait aucune idée de comment se défendre autrement. Il ne savait pas comment réagir aux différentes attaques de son camarade, il ne savait pas comment se défendre tout simplement alors au final c’était peut-être aussi bien qu’il attaque.

Bon en vérité, il n’avait pas spécialement envie de faire du mal à Deadpool, il espérait simplement le faire taire un peu. S’il avait eu l’intention de le faire, sans doute qu’il aurait frappé plus fort. Parce que au fond, même s’il le mettait très mal à l’aise et qu’il ne savait jamais trop comment réagir… Peter devait bien avouer qu’il appréciait un peu sa présence. Même s’il ne lui dirait jamais directement, il ne fallait pas déconner.
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MessageSujet: Re: L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade   L'amitié est une question de subjectivité | Peter & Wade Clock10Mar 12 Oct - 17:09

L'amitié est une question de subjectivité
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Ok, ok… j’étais dur avec le gamin. Encore je pourrai l’être vraiment… bon d’accord j’arrête avec les doubles sens graveleux. Mais bon, on peut pas vraiment m’en vouloir, avec le nombre de fanart sur Spideypool, c’est pas comme si tout ça était vraiment sorti de nulle part. Et puis au fond, j’aime vraiment bien le taquiner Peter, parce qu’il court toujours dans mes conneries. Il pourrait se contenter de m’ignorer et me laisser parler tout seul, se tirer, ou me frapper, mais il me répond toujours, faisant durer notre échange. Je ne vais pas m’en plaindre, plus c’est long, plus c’est bon. … Oui j’ai dit que j’arrêtais, mais c’est comme une seconde nature pour moi. Mais promis, je vais tâcher de me tenir.

Mais pour ma défense, reconnaissez qu’il me lance des perches. Enfin bon, je reconnais que je vais un peu loin et qu’il ne faut pas que j’oublie que ce n’est qu’un adolescent, et qu’il n’a donc pas forcément le recul nécessaire pour ce genre de…. Plaisanteries ? Mais notez que je ne plaisante qu’à moitié pour le coup. Même s’il est plus jeune que moi, je m’en ferai volontiers un quatre heures.

« Non mais t’es pas croyable toi ! T’es insupportable mec, c’est tout ce qu’il y a à savoir ! »

Je ne peux pas m’empêcher de sourir sous mon masque. Ses réactions sont vraiment trop adorables, personne ne m’enlèvera cette idée. Je suis persuadé qu’il est au moins aussi rouge que son costume, ou le mien d’ailleurs. Tant de héros ou vilains portent du rouge, ça commence à devenir démoder franchement… enfin bon, ce n’est pas le sujet là pour le moment. Et je n’ai pas vraiment le temps de pouvoir lui répondre quoique ce soit que la petite araignée tente de me frapper, mais cela manque un peu de conviction. J’esquive le coup en m’accroupissant, le laissant taper dans le vide, j’ai pas envie qu’il se blesse le pauvre petit.

« Ohla, tout doux petite araignée. La violence ne résout rien tu sais. Surtout que contre moi c’est vraiment très inefficace. »

Oui, je sais. Moi Deadpool qui affirme que la violence ne résout rien, c’est totalement du foutage de gueule. Mais j’ai jamais été quelqu’un de logique, faut pas jouer les étonnés. Je suis même complètement cramé, mon cerveau est irrécupérable, alors autant s’y faire. Toujours dans ma position, je lève la tête pour le regarder, pas du tout dans une posture défensive, jamais contre Peter.

« Tu sais que tu fais grand d’en bas ? »

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